Quel est ton parcours ?
Je suis engagé dans l’éducation populaire (dans le scoutisme laïque), à la Fédération des Eclaireuses et Eclaireurs, depuis mon plus jeune âge, où j’ai encore des fonctions au conseil d’administration. Et, parce qu’il faut bien payer son loyer et y trouver un sens, j’ai travaillé ces cinq dernières années au Mémorial de la Shoah, en tant que médiateur culturel et pédagogique : concrètement j’animais ateliers et visites guidés, principalement pour des élèves et des jeunes.
Qu’est-ce qui m’a poussé à entrer à l’Action Jeunesse ?
Je souhaite tout simplement poursuivre cet engagement au service de la jeunesse ! L’opportunité s’est présentée de retourner à mes premiers amours : l’éducation populaire, l’éducation informelle, le soutien à la jeunesse et donc à l’avenir !
De façon plus générale, j’avais envie de m’investir plus directement au service de la communauté juive, dans mon domaine d’expertise.
Quelles seront mes missions ?
Elles seront nombreuses et variées. Tout d’abord, je vais coordonner les volontaires en service civique qui sont pour la plupart au service direct des mouvements de jeunesse et colos juives. Je vais aussi reprendre la gestion de l’incubateur Noé, de l’appel à projets pour les jeunes qui ont un projet pour dynamiser la communauté (il est encore temps de postuler : jusqu’à 10 000€ à la clef !). Enfin travailler sur une ingénierie de formation, toujours au service de la jeunesse juive et de ses organisations. Ainsi que d’autres missions prenant moins de temps mais tout aussi passionnantes : les ateliers Corrin (dans le cadre du Prix Corrin pour l’enseignement de la Shoah), le lien avec le programme Booster, etc.